Une équipe complète et performante
Onze épreuves, dix bateaux engagés, cinq finalistes
Alain Lebas et Jean-Paul Hanquier, 4e du K2H 1 000 m, une belle performance, un redoutable finish. Jean-François Millot et Gérald Delacroix en C2H 500 m, Roland Iché en C1H 1 000 m réalisent des courses abouties. Alain Lebas en K1H 500 m, Roland Iché en C1H 500 m, finalistes, confirment le bon résultat collectif.
Depuis 1952, un renouveau, jamais une équipe de France n’a été aussi complète : treize athlètes dont trois femmes. Mais un encadrement très modeste : un chef d’équipe, un entraîneur, un batelier et un kiné.
À savoir...
- La suppression du slalom (moins 4 épreuves) renforce la suprématie de la course en ligne (plus 4 épreuves).
- L’ajout de 4 courses sur 500 m bénéficie uniquement aux catégories masculines, la parité s’éloigne.
- L’Union soviétique domine la compétition (9 médailles) devant la RDA (7 médailles).
- Cette année-là : 22 pays africains boycottent les JO pour protester contre l’apartheid en Afrique du Sud.
Les chiffres clés
- 92 nations - 28 en course en ligne
- 198 épreuves - 11 en course en ligne
- 6 084 sportifs dont 1 260 femmes
- La France se classe 15e nation avec 9 médailles
